934 méconnus partis ailleurs et repoussés !
Et la misère continue de s’accentuer chez nous…la Gourde dévalorisée, le taux de chômage très élevé, le taux d’inflation en hausse, réduction du pouvoir d’achat des consommateurs…mais tout cela n’empêche pas le gouvernement de recruter un expert international très doué en stratégie et « stratagème » (comme le président Jovenel Moise) pour mieux réduire au silence l’opposition refusant jusqu’à présent le raisonnement de résonner d’une seule voix.
Entre-temps, Bellerive, Lamothe, Laleau et co, tous des présumés accusés de dilapidation de fonds du trésor public, ne boudent pas leur plaisir aujourd’hui de pouvoir montrer à la « justice » qu’ils ne sont plus intéressés à cette histoire de Petro Caribe, à l’instar du Palais National cherchant à « vilipender » le rapport de la CSC/CA sous prétexte qu’il est « éminemment politique« , pour citer Paul Eronce Villard, un défenseur patenté du régime Tèt Kalé, mais qui ne dit pas son nom
Mardi 30 juillet 2019 ((rezonodwes.com))–Selon une dépêche de l’agence de presse espagnole EFE, la Direction générale des migrations (DGM), poursuit ses opération de dépistage des étrangers séjournant illégalement en République Dominicaine. Au total 934 ressortissants haitiens qui ont été détenus dans différents points sur ce territoire, entre le 22 et le 26 juillet écoulé, ont été refoulés à la frontière.
Ce communiqué de la DGM, comme à l’accoutumée, revient sur les noms des différentes localités où les agents de migration ont effectué leur chasse à l’homme à la recherche des sans-papiers, incluant notamment des haitiens fuyant la misère rose d’Haïti.
La note précise que des étrangers ont été arrêtés dans le Grand Santo Domingo et dans les provinces d’Azua, d’Espaillat, de María Trinidad Sánchez, de La Vega, de Montecristi, de Santiago de los Caballeros, de Santiago Rodríguez, de Peravia, de Puerto Plata, de San Pedro de Macorís et de Valverde durant des opérations auxquelles ont participé des membres du DGM, de l’armée, de la marine, de l’armée de l’air, de la police, du CESTUR et des ministères des Affaires publiques et de l’Environnement.