Que la Cour Internationale de Justice prenne note que l’apprenti-dictateur haitien envisage un massacre pour demeurer INCONSTITUTIONNELLEMENT au pouvoir au-delà du 7 février 2021, en annonçant un Coup d’Etat contre la Constitution à la fin de son mandat qui arrive dans 50 JOURS – [2016-2021].
Des élections avec Jovenel Moise, les pires et les plus frauduleuses de toute l’histoire d’Haïti depuis l’Indépendance, car un usurpateur de titre est capable de tout.
minute de réflexion
Samedi 19 décembre 2020 ((rezonodwes.com))–Conformément à l’article 134-2 de la Constitution, le mandat de l’apprenti-dictateur Jovenel Moise doit obligatoirement s’achever le 7 février 2021, cependant, celui-ci a prévu un massacre généralisé pour traverser le cap de la nuit du 7 au 8 février 2021. La chronique d’un massacre annoncé, il l’a ouvertement formulée vendredi à Carrefour, en faisant l’apologie de la violence, donc, il revient maintenant à la communauté internationale d’assumer ses entières responsabilités.
Parvenu au pouvoir à la suite d’élections truquées et retardées d’environ d’une année, alors qu’entre-temps aucune modification n’a été apportée à la loi électorale de 2015, le candidat qui a remporté les présidentielles de 2016, selon l’article 134-2 de la Constitution, est censé avoir commencé son mandat le 7 février de l’année de l’élection
. La Constitution est d’ordre d’application stricte et ne peut être sujette à aucune interprétation.
Toutefois, l’apprenti-dictateur, dans l’incapacité totale de remettre le pouvoir à un « élu » choisi, à travers d’élections frauduleuses programmées par son CEP-Dermalog et illégal, est prêt à faire un coup d’Etat sur la Constitution en éliminant tous les « éléments gênants » à travers l’application du décret contesté ANI.
« Elu » en octobre 2016 par moins d’un million d’électeurs sur environ 6 millions d’Haïtiens en age de voter, le prétentieux dictateur a déclaré vendredi que « le mandat que vous m’aviez confié a une obligation de résultats« , et ces résultats, au vu et au su de tous, c’est le deuil dans les familles, le crime organisé, les actes de kidnapping entamés par les gangs G9 fédérés pro-pouvoir, la faim, la corruption institutionnalisée, l’impunité, les décrets illégaux et…le mensonge d’Etat…nous en passons.
Pour Jovenel Moise interdit de fouler les sites historiques du pays depuis tantôt deux années – Vertières, Marchand Dessalines, Pont Rouge, Arcahaie, Place d’Armes des Gonaives -, du fait que la population en grande partie continuent à tue-tête d’exiger son départ du Palais National avant même le 7 février 2021, il va « s’évertuer à en respecter les termes » en s’arrogeant le droit d’interpréter à sa façon et pour les besoins de sa mauvaise cause la Constitution, un droit qui ne lui est nullement accordé. « Aujourd’hui encore et jusqu’au 7 février 2022 », a-t-il écrit, « je tâcherai d’accomplir, malgré les barrages croisés, toutes mes promesses de campagne« , qui ne sont autres que des élucubrations qui ne tiennent plus debout depuis septembre 2018.
Jovenel Moise, comme un animal traqué dont l’administration a à son actif le plus grand crime jamais perpétré en Haïti, l’assassinat d’un bâtonnier, à l’entendre discourir vendredi, a annoncé les couleurs cachant le rouge vif d’un bain de sang. Quoiqu’il dise et annonce, il n’est nullement autorisé à interpréter la Constitution et les lois du pays même quand il a essayé vainement de se faire passer pour un « Apre Dye« .
Qu’on ne s’y méprenne pas, que les temps qui précéderaient le 7 février 2021 seraient nuageux à l’horizon. Dilatoires, mensonges, annonces à effet de solution pour l’après-7 février vont continuer de pleuvoir lè na wè na kwè et nous craignons très fort qu’il sera déjà trop tard.
Souvenez-vous bien que le mandat constitutionnel de l’apprenti-dictateur jovenel Moise s’achève bel et bien le 7 février 2021, et tant pis pour vous, si vous le laissez aller au-delà de cette date cruciale, vous feriez les frais de cet imminent bain de sang, malheureusement. Un homme averti en vaut deux et la question est maintenant de savoir comment réagir à la menace d’un animal traqué indexé de blanchiment d’argent et de dilapidation des fonds de Petro Caribe ayant une peur bleue d’aller séjourner en prison en 2021 ?