La lutte contre la corruption est définitivement partout et dépasse le stade de paroles sans actes posés… et des pseudo-démocrates, en majorité, dirigeants des pays sous-développés sont à rude épreuve avec le sport n’étant pas non plus épargné par le balayage systématique de changement à opérer. Le comité d’éthique de la FIFA a suspendu pour dix ans l’ancien président de la fédération dominicaine de football à la suite d’un cas de versement de pots de vin jugé et condamné


Zurich-Suisse, samedi 13 octobre 2018 ((rezonodwes.com))–Comme suivi du verdict de culpabilité, pour cet ancien dirigeant sportif, le prix de la corruption à payer est de US$ 151.000 d’amende et de 10 ans loin des stades de football dans le cadre des compétitions internationales.

La FIFA, en effet, a annoncé vendredi qu’Osiris Guzman avait été reconnu coupable d’avoir accepté des cadeaux ayant occasionné des conflits d’intérêts. Celui-ci a également été condamné à une amende de 150 000 francs suisses ( environ 151 000 dollars des États-Unis).

Comme pour entamer toute enquête sérieuse, le présumé accusé a été temporairement suspendu, entre-temps, il a raté l’occasion de voter pour le Mondial Russie 2018. Le dominicain Guzman qui a été suspendu pendant 15 jours pour corruption en 2011, n’a pas non plus assister aux votes et choix du pays-organisateur de la coupe du Monde de 2026.


Signalons qu’en 2015, Guzmán a profité d’un discours prononcé lors d’une réunion de la CONCACAF pour comparer le président de la FIFA, Sepp Blatter, à Nelson Mandela et Winston Churchill.